À sa première participation au Tour CIBC Charles-Bruneau, l’équipe des Brasseurs du Québec a réaliser avec succès son défi cycliste de 140km. Pour l’occasion, les participants de l’équipe ont amassé collectivement un montant de 24 500 $. Rappelons que cette équipe était constituée de représentants des brasseries Labatt, Molson Coors, Sleeman et Archibald et de membres de l’Association des brasseurs du Québec.
Montréal, le 7 février 2022. – L’Association des brasseurs du Québec est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Marie-Antoinette Diop à titre de directrice, stratégies et politiques.
Février 2022- Le fait d’établir un prix minimum aux boissons alcoolisées constitue un mécanisme efficace pour encourager une consommation modérée et responsable. Toutefois, au Québec, seule la bière est assujettie à un prix de détail minimal alors que d'autres catégories de produits alcooliques peuvent être vendues à des prix pouvant inciter à une consommation excessive d’alcool.
Montréal, le 15 novembre 2021. – L’Association des brasseurs du Québec (ABQ) est heureuse d’annoncer la nomination de Philippe Roy à titre de directeur général, dont le mandat débute dès aujourd’hui.
Novembre 2020 - L’ABQ voit d’un bon œil les changements proposés dans le projet de loi n° 72. Bien que tous souhaitent aussi des changements de fond pour moderniser le cadre réglementaire en matière de boissons alcooliques, il faut cependant procéder de manière ordonnée en prenant soin de ne pas créer d’iniquité entre les acteurs.
Octobre 2020 - C’est avec l’objectif de tabler sur le succès de la consigne et d’en optimiser le modèle que l’Association des brasseurs du Québec (ABQ) présente ce mémoire à la Commission des transports et de l’environnement. Au-delà du projet de loi n° 65, le présent mémoire s’intéresse également aux orientations portant sur la modernisation du système de consigne et ses impacts sur les producteurs.
Janvier 2020 - La consigne est un mode de récupération conservant la valeur de la matière récupérée tout en évitant la contamination. À l’aide du tri à la source lors de leurs retours chez les détaillants, le système de consignation préserve l’intégrité des contenants en faisant échec à la contamination et assurant ainsi une meilleure qualité de la matière recyclable.
Au Québec, la fabrication d’alcool se présente comme un secteur économique de premier plan dont les retombées économiques et les recettes fiscales ne peuvent être ignorées par le gouvernement. Or, tandis que le nombre de permis de brasseurs a plus que doublé au cours des dix dernières années, les membres de l’ABQ ont été à même de constater plusieurs cas où l’équité réglementaire fut mise à rude épreuve.
Juin 2019 - Les interrogations sur la gestion optimale des systèmes de collecte des matières résiduelles et recyclables reviennent ponctuellement dans l’actualité québécoise. L’efficacité des diverses options de gestion des matières résiduelles parmi lesquelles figure la consigne devient un enjeu critique et récurrent afin de limiter le recours aux sites d’enfouissement.
Faisant face à des enjeux qui requièrent d’être adressés pour assurer la vitalité et la pérennité de l’industrie brassicole, l’Association des brasseurs du Québec souhaite attirer l’attention sur les aspects liés aux retombées économiques caractérisées par la fabrication industrielle de la bière. L’objectif est le rétablissement d’un cadre de saine concurrence juste, cohérente et équitable dans le secteur de la vente des boissons alcooliques tout en priorisant la santé publique.
Montréal, le 10 mars 2020. — L’Association des brasseurs du Québec (ABQ) salue les intentions du gouvernement de procéder à un allégement réglementaire en matière de boissons alcooliques. Toutefois, elle exprime sa déception qu’aucune mesure concrète et immédiate soit mise de l’avant pour soutenir efficacement une industrie générant 3000 emplois directs de qualité dans toutes les régions du Québec.
Montréal, le 30 janvier 2020. — L’Association des brasseurs du Québec (ABQ) offre sa collaboration afin de moderniser le système de consigne publique. Cependant, ses membres profitent de l’annonce du ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Benoît Charette, pour rappeler l’importance de la notion de responsabilité élargie des producteurs dans une perspective de respect des principes d’équité financière.
Montréal, le 14 janvier 2020 — En marge des consultations portant sur le plan directeur de gestion des matières résiduelles 2020-2025 (PDGMR) de l’agglomération de Montréal, l’Association des brasseurs du Québec fait part de sa position quant au futur de la consigne. Pour ses membres, il est manifeste que la responsabilité élargie des producteurs doit demeurer, et ce, dans le respect de principes d’équité quant au financement. Il est donc hors de question de pénaliser les systèmes établis et performants pour pallier les lacunes des autres.
L’Association des brasseurs du Québec (ABQ) réagit aux recommandations sur les enjeux de recyclage et de valorisation locale du verre en reconnaissant les notions de responsabilité élargie du producteur et en appelant à une approche de partenariat avec le gouvernement du Québec afin de poursuivre les efforts de valorisation du verre.
L'Association des brasseurs du Québec (ABQ) rappelle que les boissons aromatisées à haute teneur en alcool ne sont pas l’apanage des produits à base de malt.
L'Association des brasseurs du Québec a pris connaissance du plus récent rapport annuel du Conseil d'éthique de l'industrie québécoise des boissons alcooliques. À la lecture de la publication, les plus importantes entreprises brassicoles croient qu'il est opportun plus que jamais d'élargir la réflexion sur la mise en marché de l'alcool.
« Le message qu’on veut vous lancer c’est le suivant : que vous soyez près ou loin de l’usine, vous pouvez faire affaire avec nous. On peut vous aider à faire prospérer votre entreprise. Le Québec est l’épicentre de l’industrie brassicole au Canada, avec 28% de la production canadienne », a déclaré en ouverture le directeur général de l’Association des brasseurs du Québec, monsieur Patrice Léger-Bourgoin.
« De laisser croire que les produits en provenance des leaders de l'industrie ne bénéficient pas aux régions du Québec en prétendant que les retombées économiques sont exclusivement montréalaises est tout simplement faux. »
« Ici, dans Lanaudière, nous comptons sur plus de 800 personnes et 70 fournisseurs dans des secteurs variés comme la fabrication, l’emballage ou encore le transport » a déclaré en ouverture le directeur général de l’Association des brasseurs du Québec, monsieur Patrice Léger Bourgoin. Les participants ont ensuite pu entendre des gens d’affaires témoigner des retombées socioéconomiques positives pour la région qu’ont leurs partenariats avec les grands brasseurs.
De nombreux participants au cocktail-conférence ont pu entendre des gens d’affaires témoigner des retombées socioéconomiques positives pour la région qu’ont leurs partenariats avec les grands brasseurs dans la région de Valleyfield.
L'Association des brasseurs du Québec (ABQ) félicite M. François Legault et la Coalition Avenir Québec (CAQ) pour leur élection. Le secteur brassicole se réjouit des engagements pris en campagne électorale envers la prospérité économique du Québec.
Les brasseurs du Québec précisent que, contrairement à d’autres provinces canadiennes, la SAQ n’est pas assujettie à quelconque réglementation tant sur le prix minimum au détail de la bière que sur le prix des autres produits alcooliques vendus dans ses succursales. Il en va de même avec les publicités et les promotions.
Les grands brasseurs du Québec (Labatt, Molson Coors et Sleeman) ont livré aux quatre coins de la province près de 5,5 millions de litres de bière en juillet. La canicule et les vacances estivales ont permis aux amateurs d'apprécier une fois de plus la qualité et la diversité des quelque 300 produits différents offerts sur le marché.
L'événement organisé par la Chambre de commerce et de l'industrie Rimouski-Neigette a réuni une cinquantaine de personnes. Les participants ont eu l'occasion de rencontrer avec des représentants de l'Association ainsi que ses membres, soit les brasseurs Molson, Labatt et Sleeman.
Dans le cadre de leur tournée panquébécoise qu’ils viennent d’amorcer, des représentants de l’Association des brasseurs du Québec (ABQ), en collaboration avec la Fédération des chambres de commerce du Québec, se sont arrêtés, le mercredi 20 juin dernier, dans la région des Laurentides pour présenter leur industrie, ses retombées économiques et sociales dans les régions et mettre en valeur leurs fournisseurs et partenaires.
« Le succès de notre industrie s’appuie sur la contribution des quelque 39 000 employés et 2000 fournisseurs partout au Québec. Au Bas-St-Laurent, nous comptons sur plus de 1000 personnes et 60 fournisseurs dans des secteurs variés comme la manutention, le transport ou encore les services professionnels », a déclaré le directeur général de l’ABQ, Patrice Léger Bourgoin, en ouverture de l’événement.
Les représentants de l’Association des brasseurs du Québec et ses membres, les grands brasseurs Labatt, Molson Coors et Sleeman, ont amorcé une tournée panquébécoise qui vise à souligner que si 90 % des bières achetées au Québec sont les leurs. C’est non seulement grâce à la qualité et à la diversité de leurs produits, mais également parce que les grands brasseurs sont présents partout au Québec, et collaborent avec une multitude de clients et de fournisseurs, tout en maintenant des emplois de choix.
Bien que l’industrie brassicole soit généralement perçue comme une industrie en santé, celle-ci fait face à divers enjeux qui mettent ou pourraient mettre en péril ce pan important de l’industrie manufacturière et de la transformation alimentaire au Québec.
Les brasseurs du Québec respectent la décision gouvernementale — Réagissant à la volonté gouvernementale de légiférer sur la commercialisation des cocktails aromatisés à base de malt à 7 % et plus d’alcool, les grands brasseurs du Québec rappellent qu’ils avaient déjà partagé dès l’été dernier leurs préoccupations aux autorités compétentes par rapport à la mise en marché de boissons aromatisées à 11,9 %.
Dans le contexte de la préparation du budget 2016-2017, ce mémoire vise d’abord à démontrer l’importance de l’activité des grands brasseurs dans l’économie québécoise, à présenter l’ampleur des bénéfices qu’ils génèrent pour la collectivité d’ici ainsi qu’à expliquer les enjeux fiscaux, réglementaires et commerciaux influençant l’évolution et l’avenir du secteur.
L'Association des brasseurs du Québec est d'avis que le système public de consigne doit être adapté pour refléter les enjeux environnementaux et commerciaux contemporains. Dans ces circonstances, la réflexion gouvernementale en cours est un pas dans la bonne direction.
À l’ère de la consolidation accélérée de l’industrie brassicole, la surcapacité de production des établissements de fabrication manufacturière de la bière est une situation bien réelle. Cela s’explique notamment par le déplacement des volumes de consommation vers les marchés émergents ainsi que par le phénomène sociodémographique du vieillissement de la population des pays occidentaux.
L’industrie brassicole québécoise est satisfaite que le ministre des Finances du Québec, M. Carlos Leitão, ait confirmé que la Recommandation 13 de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise (rapport Godbout) ne serait pas retenue par son gouvernement.
L’industrie brassicole québécoise s’inquiète des impacts économiques négatifs que provoquerait l’application de la Recommandation 13 proposée dans le rapport final de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise.
Le présent rapport démontre les raisons pour lesquelles l’adoption de la Recommandation 13 du Rapport de la Commission d’examen sur la fiscalité québécoise serait une erreur : l’application d’une hausse de la taxe spécifique totalisant 0,39 $/litre d’ici 2020 aurait pour effet de paralyser la grande industrie brassicole au Québec.
L’Association des brasseurs du Québec (ABQ) prend connaissance des faits saillants de l’étude du CREATE rendue publique par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques (MDDELCC), mais accueille avec prudence certains des avis présentés.