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Des retombées économiques de fabrication 90 fois plus élevées que celles de l’industrie du vin :

  • Plus de 3 milliards de dollars en retombées économiques annuelles.
  • 0,4 % du PIB de la province.
  • Vendent 90 % de la bière consommée au Québec.
  • Plus de 85 % de leurs produits sont brassés ici.
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Par leurs achats, leurs activités de vente, de distribution, de production, de mise en marché et d’exportation, les trois grands brasseurs génèrent des milliers d’emplois aux quatre coins de la province.

  • Plus de 43 000 emplois directs et indirects.
  • Au Québec, près d’un emploi sur 100 est lié aux grands brasseurs.
  • Salaire moyen des emplois directs : 77 000 $/an.
  • Une partie de ces emplois se trouve au sein de leurs 2000 fournisseurs québécois.
  • Valeur ajoutée manufacturière de 322 000 $ par employé(e)
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Des retombées économiques de fabrication 90 fois plus élevées que celles de l’industrie du vin :

  • Plus de 3 milliards de dollars en retombées économiques annuelles
  • 0,4 % du PIB de la province
  • Les brasseurs vendent 90 % de la bière consommée au Québec, dont plus de 85 % de leurs produits sont brassés ici.
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Chaque année, la vente de bière au Québec permet aux gouvernements provincial et fédéral d’amasser des centaines de millions de dollars en revenus. Ce n’est pas sans conséquences pour l’industrie brassicole.

  • 792 millions $ en revenus de taxes au provincial et au fédéral.
  • Environ 7 millions de dollars versés aux municipalités en taxes diverses.
  • Les hausses de la taxe spécifique sur l’alcool au Québec de 2012-2014 ont mené à des pertes de 120 millions de dollars pour les grands brasseurs.
  • Diminution des revenus de 0,23 $/litre de bière pour absorber ces hausses.