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À eux seuls, les trois grands brasseurs génèrent plus de 36 000 emplois à travers le Québec. Les 3 140 emplois directs, liés à leurs trois grandes usines, sont des emplois de qualité, majoritairement syndiqués, dont le salaire moyen, à plus de 77 000 $ par année, est environ deux fois supérieur au salaire moyen québécois. Les travailleurs affectés aux opérations des grandes brasseries sont parmi les mieux payés du secteur de la transformation des aliments et des boissons.


À ces emplois directs s’ajoutent 33 000 emplois indirects. Le commerce au détail, les restaurants et bars soutiennent une bonne partie de ces emplois, tandis que quelques milliers d’emplois découlent des activités des 2 000 fournisseurs de la province qui collaborent avec les grands brasseurs. Que ce soit par leurs achats qui vont des produits agricoles transformés aux véhicules de toutes sortes, en passant par les contenants, les emballages et les services professionnels, ou par leurs activités de mise en marché, les grands brasseurs génèrent des emplois dans de très nombreux secteurs d’activité, et ce, dans toutes les régions du Québec, qu’il s’agisse d’entreprises ou d’industries locales ou de multinationales.

Secteurs d’emploi nécessaires aux activités brassicoles

Services professionnels

Fiscalité, comptabilité, services bancaires et légaux, assurances, veille stratégique, logistique

Ingénierie

Génie industriel, civil, mécanique, électrique, alimentaire, biologique, etc.

Expertises industrielles

Emballages, contenants, matières premières alimentaires, équipements de fabrication et gestion de projet

Secteur de la manutention et du transport

Transport routier, ferroviaire et maritime, équipement de manutention, services professionnels en gestion de la logistique